Alors voilà,
ni chérie ni moi ne connaissions (le pays basque, lire le titre si tu comprend pas pourquoi j'en parle), on avait envie de partir pas trop loin, et de choisir de se poser où on voulait, et pour le temps qu'on voulait.
On est donc parti avec la toile de tente et 2 duvets, quelques cartes de la région et le guide du routard en poche.
Alors la première surprise, c'est qu'on est parti mi-septembre, pensant profiter des tarifs de hors saison, mais trouver encore un peu de vie, de la fin d'été (et surtout, j'ai eu droit de poser des vacances qu'à partir de cette date, donc ça réglait le problème).
On a fait un première halte dans les landes, à Mimizan, ne sachant pas si on resterait 1 jour ou 2, selon l'envie.
Et là, arrivé au camping, vers 19h, on a pas eu le choix "pour ce soir ya pas de soucis, mais vous devez partir demain, la saison est finie, le camping ferme demain à midi, jusqu'à l'été prochain".
Ha... ben comme ça c'est réglé, on ne fera qu'une journée à Mimizan.
Du coup, camping quasi désert, avec déjà tous les trucs fermés (piscine, épicerie, pti resto...etc...).
Comme on était parti pour du roots, on avait des trucs pour manger dans le coffre, un pti réchaud à gaz, de quoi survivre, et heureusement.
Le lendemain, on est parti en fin de matinée, on a fait une grande ballade sur la plage, puis on a pris la route pour St Jean de Luz (Acotz très précisément, juste avant St Jean, où ya plein de camping, dont 1 recommandé par le routard, à qui on a téléphoné, et qui ne fermait pas avant la fin du mois).
Avant de partir, une ptite photo de la page de Mimizan, avec chérie qui fait comme si elle volait sur une langue de sable (j'ai pas bien compris pourquoi, mais elle voulait faire ça, et que je la prenne en photo):
Une fois à Acotz, entre Guétary et St Jean de Luz, on a trouvé le charmant pti camping familial, genre 15 mobile-homes et une 10aine de place pour les tentes, à 30m de la plage, et juste à coté du sentier du littoral, ce qu'on avait prévu de faire pour marcher.
Le sentier du littoral, c'est 25km de rando, qui longent le front de mer de la côte de basque, jusqu'en Espagne. On nous avait conseillé la parti française, où ça se passe en haut de la falaise, alors qu'en Espagne, le sentier est au bord de la route, c'est beaucoup moins sympa.
Alors ça, c'est moi qui, sur le bord du rocher, ait dis à chérie de faire une photo pour faire genre que "je marche sur l'eau" (nan je me prend pas pour Jésus, mais je trouve ça drôle quand même):
Donc, en plus de la marche depuis le camping jusqu'à St Jean (un peu moins de 10 bornes), on a fait à la marche, toute la baie (pas le même jour), St Jean - Cibourre - Soccoa, la visite de quasi tout St Jean (l'écomusée, la maison de Louis XIV, maison de l'infante, le port, le fronton municipal où on a assisté à un match de Grand Chistera, la maison de Ravel à Cibourre ...etc...).
La photo de la baie (partie St Jean de Luz) depuis le sentier du littoral:
On a testé pour vous le jambon serrano, l'izarra, le fromage de brebis, la confiture de cerise, le gâteau basque (on a ramené la recette et on en a refais un depuis qui était excellent), et les "mouchous" (des petits macarons mais plus moelleux que les macarons traditionnels, vrai douceur, "mouchous" voulant dire bisou en basque).
Pour finir, une photo de moi sur le port, pour montrer comme je fais bien basque avec le béret, et la barbe de quelques jours:
Et on finit par vous narguer avec le coucher de soleil depuis la plage:
Bon, le hic (yen a forcément un), c'est que si tu as suivi les infos, le pays basque à pris en 2 jours la pluie de 2 mois, donc il a commencé à pleuvoir le jeudi soir, sans interruption jusqu'au samedi, où nous avons décidé de plier la tente trempé (et nous avec) et de rentrer. La pluie a continué jusqu'au mardi suivant... (on a bien fait de partir au bout de 2 jours de flotte, sinon on en prenait 3 de plus).
On était sur une partie haute du camping, heureusement pour nous, ceux d'en bas ont été inondé, l'accès au camping bloqué par les flots pendant 1 après-midi (nous on étaient sorti avant, on étaient au chaud dans un salon de thé, à manger des pâtisseries en faisant des mots fléchés...)
- Xav -
ni chérie ni moi ne connaissions (le pays basque, lire le titre si tu comprend pas pourquoi j'en parle), on avait envie de partir pas trop loin, et de choisir de se poser où on voulait, et pour le temps qu'on voulait.
On est donc parti avec la toile de tente et 2 duvets, quelques cartes de la région et le guide du routard en poche.
Alors la première surprise, c'est qu'on est parti mi-septembre, pensant profiter des tarifs de hors saison, mais trouver encore un peu de vie, de la fin d'été (et surtout, j'ai eu droit de poser des vacances qu'à partir de cette date, donc ça réglait le problème).
On a fait un première halte dans les landes, à Mimizan, ne sachant pas si on resterait 1 jour ou 2, selon l'envie.
Et là, arrivé au camping, vers 19h, on a pas eu le choix "pour ce soir ya pas de soucis, mais vous devez partir demain, la saison est finie, le camping ferme demain à midi, jusqu'à l'été prochain".
Ha... ben comme ça c'est réglé, on ne fera qu'une journée à Mimizan.
Du coup, camping quasi désert, avec déjà tous les trucs fermés (piscine, épicerie, pti resto...etc...).
Comme on était parti pour du roots, on avait des trucs pour manger dans le coffre, un pti réchaud à gaz, de quoi survivre, et heureusement.
Le lendemain, on est parti en fin de matinée, on a fait une grande ballade sur la plage, puis on a pris la route pour St Jean de Luz (Acotz très précisément, juste avant St Jean, où ya plein de camping, dont 1 recommandé par le routard, à qui on a téléphoné, et qui ne fermait pas avant la fin du mois).
Avant de partir, une ptite photo de la page de Mimizan, avec chérie qui fait comme si elle volait sur une langue de sable (j'ai pas bien compris pourquoi, mais elle voulait faire ça, et que je la prenne en photo):
Une fois à Acotz, entre Guétary et St Jean de Luz, on a trouvé le charmant pti camping familial, genre 15 mobile-homes et une 10aine de place pour les tentes, à 30m de la plage, et juste à coté du sentier du littoral, ce qu'on avait prévu de faire pour marcher.
Le sentier du littoral, c'est 25km de rando, qui longent le front de mer de la côte de basque, jusqu'en Espagne. On nous avait conseillé la parti française, où ça se passe en haut de la falaise, alors qu'en Espagne, le sentier est au bord de la route, c'est beaucoup moins sympa.
Alors ça, c'est moi qui, sur le bord du rocher, ait dis à chérie de faire une photo pour faire genre que "je marche sur l'eau" (nan je me prend pas pour Jésus, mais je trouve ça drôle quand même):
Donc, en plus de la marche depuis le camping jusqu'à St Jean (un peu moins de 10 bornes), on a fait à la marche, toute la baie (pas le même jour), St Jean - Cibourre - Soccoa, la visite de quasi tout St Jean (l'écomusée, la maison de Louis XIV, maison de l'infante, le port, le fronton municipal où on a assisté à un match de Grand Chistera, la maison de Ravel à Cibourre ...etc...).
La photo de la baie (partie St Jean de Luz) depuis le sentier du littoral:
On a testé pour vous le jambon serrano, l'izarra, le fromage de brebis, la confiture de cerise, le gâteau basque (on a ramené la recette et on en a refais un depuis qui était excellent), et les "mouchous" (des petits macarons mais plus moelleux que les macarons traditionnels, vrai douceur, "mouchous" voulant dire bisou en basque).
Pour finir, une photo de moi sur le port, pour montrer comme je fais bien basque avec le béret, et la barbe de quelques jours:
Et on finit par vous narguer avec le coucher de soleil depuis la plage:
Bon, le hic (yen a forcément un), c'est que si tu as suivi les infos, le pays basque à pris en 2 jours la pluie de 2 mois, donc il a commencé à pleuvoir le jeudi soir, sans interruption jusqu'au samedi, où nous avons décidé de plier la tente trempé (et nous avec) et de rentrer. La pluie a continué jusqu'au mardi suivant... (on a bien fait de partir au bout de 2 jours de flotte, sinon on en prenait 3 de plus).
On était sur une partie haute du camping, heureusement pour nous, ceux d'en bas ont été inondé, l'accès au camping bloqué par les flots pendant 1 après-midi (nous on étaient sorti avant, on étaient au chaud dans un salon de thé, à manger des pâtisseries en faisant des mots fléchés...)
- Xav -
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