Alors voilà,
il existe de ces gens, dont la vie est à ce point insupportable et épuisante, qu'on ne les croise que "tout mou", toujours fatigué, toujours soupirant, toujours en marchant, et à une vitesse proche de l'escargot comateux...
On en connait tous au moins un, on en a tous croisé un, on a tous au moins entendu parler de leur existence, ils sont parmi nous.
Et bien oui, dans ma boite il y en a un. Il est célèbre, la simple prononciation de son prénom fait sourire, il est connu de tous.
Mais par souci de ne pas faire de délation, il sera renommé dans ce post "Monsieur Pouf-Pouf".
Non non, il ne fait pas le bruit d'une locomotive, mais en fait il n'a jamais appris à respirer, direct on lui a enseigner "l'art de soupirer"...
Ce monsieur dont la fatigue chronique dépasse de loin celle d'Atlas (le titan de la mythologie grecque condamné à porter en permanence le monde sur ses épaules) lorsqu'il vous croise à environ 1m50, ne fera cette incroyable distance pour vous serrez la main qu'une fois sur 3 (statistiques non validées par l'INSEE mais que je pense être assez véridique), les autres fois cela ne doit pas rentrer dont son quota d'effort pour la journée, et il vous faudra attendre le lendemain sans vous vexer d'être snober ce coup-ci.
Donc voilà que pas plus tard qu'hier, je me rend de mon bureau aux toilettes afin d'évacuer un petit surplus localisé au niveau de ma vessie (que celui ou celle à qui ça n'est jamais arrivé me jette la 1ere pierre), et que durant le chemin jusqu'à ce lieu de libération, je rejoint (et double vu que je marche à une allure normale) monsieur Pouf-Pouf.
J'avais déjà accomplie la moitié de ma besogne quand il s'est installé 2 urinoirs plus loin, et le temps que j'achève ma mission, il laisse échapper 2 grands et sonores soupirs...
Sérieux, il existe des gens blasés de la vie au point que même aller uriner et un supplice et une source de fatigue !!!
Alors là je dis non, faut paspouffer pousser...
J'en suis a me demande s'il n'aurait pas déjà mit fin à sa carrière si on lui fournissait la corde déjà nouée... là ce qui le retient, ça doit être d'envisager la fatigue que lui procurerait l'action de faire le nœud coulant lui-même.
- Xav -
il existe de ces gens, dont la vie est à ce point insupportable et épuisante, qu'on ne les croise que "tout mou", toujours fatigué, toujours soupirant, toujours en marchant, et à une vitesse proche de l'escargot comateux...
On en connait tous au moins un, on en a tous croisé un, on a tous au moins entendu parler de leur existence, ils sont parmi nous.
Et bien oui, dans ma boite il y en a un. Il est célèbre, la simple prononciation de son prénom fait sourire, il est connu de tous.
Mais par souci de ne pas faire de délation, il sera renommé dans ce post "Monsieur Pouf-Pouf".
Non non, il ne fait pas le bruit d'une locomotive, mais en fait il n'a jamais appris à respirer, direct on lui a enseigner "l'art de soupirer"...
Ce monsieur dont la fatigue chronique dépasse de loin celle d'Atlas (le titan de la mythologie grecque condamné à porter en permanence le monde sur ses épaules) lorsqu'il vous croise à environ 1m50, ne fera cette incroyable distance pour vous serrez la main qu'une fois sur 3 (statistiques non validées par l'INSEE mais que je pense être assez véridique), les autres fois cela ne doit pas rentrer dont son quota d'effort pour la journée, et il vous faudra attendre le lendemain sans vous vexer d'être snober ce coup-ci.
Donc voilà que pas plus tard qu'hier, je me rend de mon bureau aux toilettes afin d'évacuer un petit surplus localisé au niveau de ma vessie (que celui ou celle à qui ça n'est jamais arrivé me jette la 1ere pierre), et que durant le chemin jusqu'à ce lieu de libération, je rejoint (et double vu que je marche à une allure normale) monsieur Pouf-Pouf.
J'avais déjà accomplie la moitié de ma besogne quand il s'est installé 2 urinoirs plus loin, et le temps que j'achève ma mission, il laisse échapper 2 grands et sonores soupirs...
Sérieux, il existe des gens blasés de la vie au point que même aller uriner et un supplice et une source de fatigue !!!
Alors là je dis non, faut pas
J'en suis a me demande s'il n'aurait pas déjà mit fin à sa carrière si on lui fournissait la corde déjà nouée... là ce qui le retient, ça doit être d'envisager la fatigue que lui procurerait l'action de faire le nœud coulant lui-même.
- Xav -
Commentaires
Tandis que nous, nous tenons en équilibre précaire à une distance de sécurité de la lunette, et ce durant toute la durée du pissou et plus si affinités (popo ou mieux: ragnagnouf)
Et là on dit merci à Lauriane de pourrir l'image de princesse des nanas... encore que on est un peu superwoman avec nos cuisses en bêton! ^^
Bisous